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"Folle ivresse"

"En plus de l'évidente plénitude, l'aplomb avec lequel la musique sonne nous frappe et nous ravit."

"La richesse des sonorités est un perpétuel enchantement"

"Respiration idéale ; Chaconnes dignes de grands Rubens ; splendide étude de timbres"

"La manière dont sont gérés les dramaturgies, les contrastes, appelle les éloges, tant elle se garde du surlignement facile. (...) Le bon goût, voilà ce que Kossenko et ses musiciens maîtrisent au suprême degré et qui évite au festin de tourner à l'indigestion"                                                        (Diapason, Loïc Chahine)

"Das groß besetzte Ensemble Les Ambassadeurs – La Grande Ecurie spielt mit Vitalität und Stilgefühl. Bemerkenswert ist das homogene Klangbild, in dem sich die Instrumente wirklich symphonisch fügen."      

"Both magnificence and grace are abundant in these splendidly played performances which far from being routine or dutiful exude an irresistible verve and character."      

"Alexis Kossenko donne à la chaconne de Royer une force et des couleurs saisissantes. (...) Le tambourin de Rameau fait valoir la virtuosité épatante d'un orchestre chauffé à blanc"                               (Classica, Philippe Ramin)

"Alexis Kossenko semble avoir établi une belle collaboration avec Les Ambassadeurs ~ La Grande Ecurie, belle formation dont il magnifie autant l'ampleur quer la délicatesse. La virtuosité est spectaculaire mais ne sacrifie en rien la densité des timbres."                                       (Classica, Philippe Ramin)

"La prestation du conglomérat Les Ambassadeurs – La Grande Écurie s’avère sans rivale dans la discographie. Son copieux éventaire, offert avec le soin, l’opulence et les saveurs les plus légitimes, ne risque pas d’être menacé de sitôt. Hédonisme, raffinement et panache, à satiété. Serviette au col, les mélomanes épicuriens accourront à cette bombance de haute tenue."

                             (Baroquiades, Christophe Steyne)

"Collection de merveilles donnée pour l’occasion par un immense orchestre de 78 musiciens, et c’est une grande part du monde sonore de ce Versailles du XVIIIe siècle qui paraît soudain, magnifié par l’élan de la direction, les couleurs des instruments anciens donnant à l’ensemble une verdeur, une alacrité qui font pencher les quatre suites vers la danse plus que vers la table."

(Artalinna, Jean-Charles Hoffelé)

"On est littéralement transporté par cette interprétation dirigée avec maestria par Alexis Kossenko ! (...) Quel entrain, quelle gouaille, quelle prestance !"

"[Cela donne] ainsi de véritables frissons à l’auditeur lorsqu’il écoute l’orchestre gagner en ampleur dans la superbe « Chaconne » de Francœur (Troisième Suite), le passage après 7’, succédant à des cuivres éclatants tout aussi irrésistibles !"

"Enfin, on est transporté par l’énergie et la joie communicative de cet orchestre de plus de 70 musiciens qui, sous la houlette d’Alexis Kossenko, s’en donne à cœur joie du début à la fin."
 

(Concertonet.com, Christophe Steyne)

"A la tête de quelques 70 musiciens, Alexis Kossenko dompte son effectif et ce qui aurait pu facilement virer au tintamarre difficilement audible s’avère au contraire un constant plaisir d’écoute, le chef ne surjouant jamais la majesté un peu pompeuse de nombre de pièces du programme, s’évertuant au contraire avec succès à maîtriser le relief entre les instruments, habile à laisser les différentes familles instrumentales s’épanouir. (...)

 

Une direction d’une indéniable réussite, avec des effectifs peu communs pour le baroque et dont les couleurs de l’orchestre, à la fois chaudes et alternant entre fougue et tempérance, nous procurent un plaisir d’écoute qui ne pâli pas au fil de l’enchaînement des séquences."

(Musebaroque.fr, Pierre-Damien Houville)

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