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"Ce qui frappe d'abord, c'est la force de cet orchestre rayonnant qui rend véritablement justice é la profusion de l'écriture ramiste. Quelle variété de couleurs entre les excellents pupitres de vents, des cordes charnues ! L'enthousiasme est palpable, ce qui n'empêche pas Les Ambassadeurs ~ La Grande Ecurie de ciseler les rythmes de l'Air pour  les Génies et les Fées. La direction souple d'Alexis Kossenko évite partout les effets outrés tout en ménageant l'intérêt. Résurrection majeure et bien souvent jubilatoire" (Diapason)

"Pour servir cette partition d’une richesse de coloris absolument inouïe, Alexis Kossenko sait désormais qu’il peut compter sur un ensemble orchestral réunissant Les Ambassadeurs et La Grande Écurie aux effectifs colossaux conformes à ceux de l’opéra de Paris au tournant des années 1750. Ce foisonnement instrumental d’une somptuosité sans pareille nous vaut des frissons dès l’ouverture, certainement la plus délirante que Rameau ait jamais conçue." (Baroquiades)

"The rich breadth of sonorities from the large orchestra is exceptional, and Kossenko’s superb players take in their stride every ingenious surprise and intricate detail that Rameau throws at them. (...) This enthralling triumph at long last fills one of the major lacunae in the Rameau discography." (Gramophone)

"Alexis Kossenko’s direction is admirable, being especially effective in more dramatic music, and he draws some fine playing from his large band. This resurrection of an unaccountably forgotten work demands to be heard by all who value French Baroque opera." (Early Music Review)

"Alexis Kossenko est un maître de cérémonie épatant par la précision rythmique, son sens des couleurs, sans oublier son aptitude à envisager la partition dans sa totalité, galvanisant ses troupes" (Crescendo)

"Tout cela pourrait être seulement aimable. Ce serait compter sans l’interprétation d’Alexis Kossenko. La puissance des Ambassadeurs-La Grande Écurie, avec des cors d’une insolence sidérante, explose dès l’invraisemblable Ouverture, une des pièces les plus stupéfiantes du compositeur. (...) Une interprétation conquérante que rien ne semble pouvoir freiner, les trois actes, étant donnés dans le même souffle." (Resmusica)

"Il en résulte une pâte somptueuse, richement colorée et savamment pétrie par Alexis Kossenko pour rendre justice aux fastes sonores imaginés par ce génial orchestrateur, à l’instar des feux d’artifice et de la fanfare de l’ouverture, de la loure du premier acte ou encore de cette houleuse symphonie en sol mineur sur laquelle les Aquilons enchaînent Achante et Céphise à des rochers au début du troisième acte. Le chef sait également réduire la voilure au profit d’une délicatesse de touche et d’une agilité qui font merveille dans l’évanescente et très suggestive « Danse des amants qui se fuient en se plaignant » comme dans les arabesques que décrivent les Esprits aériens."  (Forum Opéra)

"Et surtout, l’orchestre – rutilants Ambassadeurs – La Grande Écurie dirigés d’une main ferme par Alexis Kossenko – est ici le protagoniste central"  (Première Loge Opéra)

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